Albert : Si il verrait ça, il tomberait des leurres.
Alors autant d’habitude, j’arrive à comprendre ce qui se télescope dans ta tête cher Albert, autant là, vraiment, je reste sans voix…
Albert : Si il verrait ça, il tomberait des leurres.
Alors autant d’habitude, j’arrive à comprendre ce qui se télescope dans ta tête cher Albert, autant là, vraiment, je reste sans voix…
Entre les juste un peu maladroits, les franchement lourdauds et les carrément flippant, il commence à y avoir de quoi remplir tout un bouquin… Continue reading « Rencontres »
Cette petite phrase qu’on se répète à longueur de temps, ça fait peur quand même.
“Tu as vu les migrants ? Ça fait peur quand même !”
“Tu as vu les augmentations d’impôts ? Ça fait peur quand même !”
“Tu as vu le temps ? Ça fait peur quand même !”
Comme des enfants qui jouent à se persuader que le loup est sous le lit, parce que jouer à se faire peur, c’est rigolo.
On peut aisément pardonner à l’enfant qui a peur de l’obscurité. La vraie tragédie de la vie, c’est lorsque les hommes ont peur de la lumière.
Platon
Comment vit-on quand on n’a pas peur ? Pas peur des autres, pas peur de son ombre, pas peur du lendemain ni du chien du voisin… Mieux encore, quand on n’a pas peur d’être soi-même ! Et bien la vérité, c’est que rien ne change. Rien ? Rien, sauf le regard que l’on porte sur le monde, sur la vie. On n’a plus la boule au ventre, le nœud à l’estomac, le front en sueur au moindre bruit suspect. On n’est plus aux aguets, on n’épie plus les voisins. Et sans que rien ne change vraiment, d’un coup, la vie est plus belle.
Alors n’ayez plus peur 😉
Albert : En ce moment, soit on se voit plus, soit on se voit.
Version originale :
Itinéris : Quand je regarde comme ça on me voit, si je regarde comme ça on me voit plus, on me voit, on me voit plus …
Albert — Je dirai que lui, à 67%, il a des chances de se retrouver garde parc.
Version originale :
Perceval — Sur une échelle de 7 à 8 à 7 ils se comportent comme des fumiers et à 8 ça va mieux!
Albert : J’ai retrouvé une vidéo qui date de Jérusalem…
Sans commentaire
Oui je sais, ça fait des années que je poste des articles que presque personne ne lit et c’est seulement maintenant que je m’interroge.
Cyril Connolly
Mieux vaut écrire pour soi et de ne pas avoir de public plutôt que d’avoir un public et ne plus être soi même.
Pourquoi un blog. Ou plutôt pourquoi j’écris. J’écris parce que c’est vital pour moi. Parce que j’ai passé des années à me taire, à refuser de parler plutôt qu’être obligée de mentir. Pour avoir l’approbation des autres que de toutes façons je n’obtenais jamais. Je ne peux plus taire ce que je suis. Alors j’écris, parfois des choses sans intérêt, parfois des interrogations profondes, souvent mes réflexions en cours. Parce que cela m’aide à définir qui je suis. Ce que je pense. Ce que je veux.
Rien ne m’empêchera de continuer à l’ouvrir, à m’ouvrir, malgré tous ceux que ça dérange, une femme intelligente, qui ne mâche pas ses mots et qui s’autorise à vivre, à aimer, à ressentir ses émotions et par dessus tout : à être libre.
Françoise Sagan
La liberté de penser, et de mal penser et de penser peu, la liberté de choisir moi-même ma vie, de me choisir moi-même. Je ne peux pas dire « d’être moi-même » puisque je n’étais rien qu’une pâte modelable, mais celle de refuser les moules.
Dans son magnifique essai La fonction transcendante, Jung effectue une mise en garde. Certaines personnes, dit-il, dans leur quête du Soi, pourront suresthétiser l’expérience de Dieu ou du Soi, d’autres la sous-évaluer, d’autres encore être blessées par elle, faute d’être prêtes pour une telle expérience. Mais d’autres trouveront le chemin de ce que Jung appelle «l’obligation morale» de vivre et d’exprimer ce qu’ils ont appris dans la descente ou l’ascension vers le Soi sauvage.
Clarissa Pinkola Estés, Femmes qui courent avec les loups, histoires et mythes de l’archétype de la femme sauvage
La toile regorge de tutoriels, recettes et autres discussions sur l’art du savon. Quand je suis tombée dans le chaudron, j’ai bien sûr étudié la question à fond. J’ai lu toutes sortes de choses sur la bonne méthode pour faire du savon. Bon. Mais comme je suis une casse pieds, je voulais savoir pourquoi et surtout si c’était bien sûr qu’on ne pouvait pas faire autrement. Comme on n’apprend bien que de ses erreurs… Alors vous trouverez dans ce blog quelques recettes réussies, certaines par hasard ainsi que toutes sortes de ratages. Parce qu’il ne suffit pas de savoir comment réussir mais qu’il est bon de comprendre pourquoi ça rate.
Au programme :
La liste est non exhaustive.. N’hésitez pas à proposer des ajouts 😉
Curieusement, je ne me suis jamais demandée Pourquoi Il Faut Porter Des Gants…