Wildfires au coin du feu
Carrot cake
Dans la série « vive les carottes », cette fois, un dessert d’origine anglaise ! Et oui, les anglais ont aussi des recettes délicieuses, loin des vieux cliché (ah, la fameuse soupe aux huîtres de De Funès…)
Enfin il n’est pas question de ça ici. Le carrot cake comme son nom l’indique contient de la carotte. Mais il aurait plutôt un léger goût de cannelle et d’orange, d’épices et de noisettes. Un délice quoi. Un conseil, n’oubliez pas le glaçage parce que sans c’est loin d’être aussi exceptionnel…
Préparer la veille
Pour 8 personnes
Cuisson : 30′ à 210°C
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Column: 1
- 300 g de carottes
- 125g poudre de noisettes
- 75g de farine
- 1 sachet de levure
- 150g de cassonade
- 3 œufs
- 100g beurre (ou 80g d’huile)
- [itg-tooltip qtiptrigger= »responsive » tooltip-content= »<p>du <strong>piment de Jamaïque</strong> en poudre, c’est-à-dire du Quatre-épices ou un mélange de quatre épices : cannelle, gingembre, muscade, girofle</p> »]épices [/itg-tooltip]
Column: 2
Pelez les carottes et passez les à la centrifugeuse. Récupérez le jus et la pulpe. Si vous n’avez pas de centrifugeuse, faites les cuire et réduisez les en purée.
Dans un saladier, mélangez les oeufs, l’huile, le sucre et les épices. Fouettez pendant quelques minutes.
Ajoutez la poudre de noisette puis la farine mélangée à la levure. Incorporez enfin les carottes.
Versez la pâte dans un moule à cake et enfournez environ 30′ puis laissez refroidir.
Pendant ce temps, préparez le glaçage :
Column: 1
- 1 pot de mascarpone
- le jus d’une orange
- 100g de sucre
- 1 cas de maïzena
- 1 oeufs
Column: 2
Dans une casserole, mélangez le jus d’orange, la maïzena, le sucre et l’oeuf puis fouettez jusqu’à ce que ce soit homogène.
Faites cuire à feu doux en remuant constamment jusqu’à épaississement. Versez dans un autre récipient (pour éviter que ça continue à épaissir au fond de la casserole) et laissez refroidir.
Mélangez cet orange curd frais au mascarpone en vous assurant qu’il n’y ai pas de grumeaux puis remettez au frais pour raffermir la crème.
Etalez la crème sur le gâteau.
Vous pouvez déguster ou attendre quelques heures en le laissant au frais, il sera encore meilleur.
Love betrayed
Mon amour dès l’abord
sans limites, trop fort
t’as offert toute mon âme
telle une belle flamme.
Et toi, tu as quitté mes bras,
fuyant l’absolu don de moi,
piétinant mon amour et ma vie
avec d’autres, tu m’as trahi.
Comme un loup se révèle
à la lune nouvelle,
je crie, désespère
un silence délétère.
Mon amour même encore
refuse d’être mort.
Je t’aime, je t’abhorre
t’aimerai c’est mon sort.
Comme un loup se révèle
à la lune nouvelle,
je crie, me désespère
en silence, délétère.
Ce jour-là
C’était un jour semblable à tous les autres jours. Un jour gris, un jour d’ennui. J’étais malade depuis longtemps déjà et c’était ma première sortie. Il faisait froid et le timide soleil d’hiver ne réchauffait pas vraiment. Pour vaincre l’ennui lancinant, j’avais décidé enfin d’apprendre à coudre.
Pour potasser mon sujet, je voulais acheter une « somme » qui me permettrait de débuter. En sortant de ma séance de kiné, moulue mais détendue, j’allais donc au centre commercial voisin. Je passais devant une boutique qui vendait quelques livres : je savais qu’ils n’avaient pas ce que je cherchais mais ils vendaient aussi des huiles essentielles et j’en profitait pour faire le plein d’odeurs.
Au rayon bouquins, sans surprise, rien sur la couture mais un petit volume un peu jaune, dont le titre racoleur m’attira : pour les gens intelligents qui ne se trouvent pas doués ? Vraiment ? Tiens, tiens !
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Des mots en bocaux
un exercice d’écriture : écrire une phrase contenant un mot tiré au hasard, puis tout un texte…
Lumière d’hiver
Texte écrit pour une chanson (mélodie à assortir…)
Tu fus d’abord un éclat,
un sourire, une voix.
Bleu-glace, tes yeux oblongs,
un soleil de rayons blonds.
Depuis ta présence
est devenue une évidence,
comme la douceur du foyer
pour une enfant en paix.
Puis le soleil s’est couché,
nous nous sommes séparés.
Sur le quai mon cher ami
(voix masculine) « Je t’appellerai, promis ! »
Soleil haut, je m’endors
je rêve de tes cheveux d’or
J’imagine d’autres possibles
mais tu restes inaccessible.
Tu ne tiens pas ta promesse
il me reste ma tristesse
Je t’aimais ! Ton silence
est une douleur immense.
Sur ma jour un pleur
Sur ma joue, un pleur
Ta présence, le Soleil :
un arc-en-ciel.
Les poissons aussi font leur nid…
Et oui ! Mon Nenuphar, sauvé d’une mort certaine est prêt à faire des bébés : je sais, je bêtifie, j’suis trop fière !