Tout son corps tendu, posa
Délicatement un pied
Mouvement soudain de poignet
Fendit l’air au sabre de bois.
Déposa son katana
Apaisé, tendre félin
La peau douce, les muscles fins,
Se détendit sous mes doigts.
Dans l’herbe haute, je me couche
Et sens se poser ta bouche
Dans mes cheveux déliés
Souffle la brise d’été
Toujours je me souviendrai
De toi, chat errant au loin
Histoire comme ci du premier chat quantique par Wildfires
Le chat qui s’en va tout seul par R. Kipling