Sur ma jour un pleur 25 juin 201325 juin 2018 Wildfires au coin du feu This entry is part 1 of 1 in the series EmbersEmbersSur ma jour un pleurSur ma joue, un pleur Ta présence, le Soleil : un arc-en-ciel. Partager :TwitterFacebookPinterestPocketE-mailTelegramWhatsApp
Iris, à son brillant mouchoir,De sept feux illumineLa molle averse qui chemine,Harmonieuse à choir. Ah, sur les roses de l’été,Sois la mouvante robe,Molle averse, qui me dérobeLeur aride beauté. Et vous, dont le rire joyeuxM’a caché tant d’alarmes,Puissé-je voir enfin des larmesMonter jusqu’à vos yeux. Contrerimes, Paul-Jean Toulet Répondre
La contrerime est un quatrain combinant rimes embrassées (ABBA) et structure métrique croisée (généralement 8-6-8-6), ce qui donne au poème une impression de déséquilibre systématique :p Répondre
Iris, à son brillant mouchoir,
De sept feux illumine
La molle averse qui chemine,
Harmonieuse à choir.
Ah, sur les roses de l’été,
Sois la mouvante robe,
Molle averse, qui me dérobe
Leur aride beauté.
Et vous, dont le rire joyeux
M’a caché tant d’alarmes,
Puissé-je voir enfin des larmes
Monter jusqu’à vos yeux.
Contrerimes, Paul-Jean Toulet
La contrerime est un quatrain combinant rimes embrassées (ABBA) et structure métrique croisée (généralement 8-6-8-6), ce qui donne au poème une impression de déséquilibre systématique :p