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» (…)
On peut mourir pour telle ou tel, on vit pour soi,
Même quand on voudrait vivre pour tel ou telle !
Et puis l’heure sévère, ombre de la mortelle,
S’en vient couvrir les trois quarts du cadran.
Il faut dès ce jourd’hui, renier le tyran
Plaisir, et se complaire aux prudents hyménées,
Quittant le souvenir des heures entraînées
Et des gens. Et voilà la norme et le flambeau.
Ce sera bien. »
L’Amour :
« Ce ne serait pas beau. »
Paul Verlaine